Flore
Stachys palustris (Linné, 1753) – L’Epiaire des marais

Stachys palustris (Linné, 1753) – L’Epiaire des marais

Après ses deux cousins, l’Epiaire des bois et l’Epiaire officinal, changeons de décor pour voir l’Epiaire des marais : Stachys palustris. Abondant dans le Val de Loire, il est présent en forêt d’Orléans dans les fossés en queue d’étang et sur les berges humides annuellement. Moins courant que les deux autres par son biotopeaire géographique de...
Stachys officinalis ((L.) Trevisan, 1842) – Epiaire officinal

Stachys officinalis ((L.) Trevisan, 1842) – Epiaire officinal

Après l’Epiaire des bois, Stachys sylvatica, il faut parler de l’Epiaire officinal, Stachys officinalis car c’est le plus courant en forêt d’Orléans. Il se rencontre dans tous les massifs car son exigence vis-à-vis du sol est faible. L’Epiaire officinal est une plante vivace et résistante aux maladies pour mieux offrir ses épis floraux aux promeneurs. Sur...
Stachys sylvatica (Linné, 1753) – L’Epiaire des bois

Stachys sylvatica (Linné, 1753) – L’Epiaire des bois

Un peu plus de deux semaines sans rendre visite à mon blog, pourtant, malgré la sécheresse les observations en forêt d’Orléans ne manquent pas. Les champignons ont totalement disparu, mais les fleurs résistent et les papillons ne se plaignent pas du temps chaud. Alors nous allons regarder du côté des Epiaires, famille des Lamiaceae, genre...
Pulicaria dysenterica (L.) Bernh., 1800 – La Pulicaire dysentérique

Pulicaria dysenterica (L.) Bernh., 1800 – La Pulicaire dysentérique

En cette mi-août caniculaire, il est agréable de voir des fossés remplis de fleurs jaunes. Le vert-blanchâtre des feuilles tranche avec la couleur paille des bas-côtés. La Pulicaire dysentérique parcourt les milieux humides de la forêt d’Orléans et donne un peu de gaieté aux promeneurs, souvent intrigués par tant de luminosité florale. Pulicaria dysenterica fleurit...
Galeopsis tetrahit (Linné, 1753) – Le Galéopsis tétrahit

Galeopsis tetrahit (Linné, 1753) – Le Galéopsis tétrahit

Ah, le port du Galéopsis tétrahit est si ramifié que ma grand-mère disait de lui qu’il ressemble à un escogriffe dégingandé. Les anciens usaient de qualificatifs péjoratifs, aussi bien pour les voisins que pour les mauvaises herbes du jardin, en toute sincérité. Galeopsis tetrahit, le binom latin est identique sans les accents bien sûr, est quand...
Campanula trachelium (Linné, 1753) – La Campanule gantelée

Campanula trachelium (Linné, 1753) – La Campanule gantelée

Les Campanules sont de belles fleurs sauvages dont beaucoup de variétés sont cultivées dans les jardins. La Campanule gantelée, appelée aussi la Campanule à feuilles d’ortie, en fait partie. Campanula trachelium est une plante poilue de partout, même les pétaleschacune des pièces dont est composée la corolleensemble des pétales d'une fleur. d'une fleur. bleu-violet sont...
Centaurium erythraea (Rafn, 1800) – L’Erythrée petite-centaurée

Centaurium erythraea (Rafn, 1800) – L’Erythrée petite-centaurée

Sur les vestiges des anciennes carrières de sable de la forêt d’Orléans, sable qui servait à l’entretien des chemins avant l’emploi du calcaire, pousse une magnifique petite fleur rose. L’Erythrée petite-centaurée, Centaurium erythraea, est présente sur tous les massifs de la forêt d’Orléans, bien qu’elle préfère les sols acides dans le Loiret. Cette plante de...
Genista tinctoria (Linné, 1753) – Le Genêt des teinturiers

Genista tinctoria (Linné, 1753) – Le Genêt des teinturiers

Au début du mois de juin, je vous ai présenté le Genêt ailé, Genista sagittalis. Depuis, l’herbe a grandi et celui-ci a été remplacé par le Genêt des teinturiers, Genista tinctoria. Pour se faire voir au dessus des prairies de la forêt d’Orléans, cet arbuste peut atteindre le mètre de hauteur. Pourtant, ses fleurs jaunes...
Genista sagittalis (Linné, 1753) – Le Genêt ailé

Genista sagittalis (Linné, 1753) – Le Genêt ailé

Après quelques pluies matinales, une petite ballade en forêt d’Orléans sur le massif de Lorris ne peut pas nuire. Sur les bas-côtés d’une allée forestière, quelques taches jaunes agrémentent le lieu par ce temps gris. Il faut mettre le genou dans l’herbe mouillée pour regarder de près les tiges de cette plante qui ne dépasse...
Lathyrus linifolius (Reichard) Bässer, 1971 – La Gesse des montagnes

Lathyrus linifolius (Reichard) Bässer, 1971 – La Gesse des montagnes

Dès le mois d’avril et jusqu’au début juillet Lathyrus linifolius, la Gesse des montagnes pousse sur les allées de la forêt d’Orléans. Elle se plaît sur le massif acide de Lorris où je la rencontre, mais elle est présente sur le massif d’Orléans et en forêt de Montargis plus calcaire. Les fleurs rouge-violacé puis bleuâtres...
Halimium umbellatum (L.) Spach 1836 - Hélianthème en ombelle

Halimium umbellatum (L.) Spach 1836 – Hélianthème en ombelle

Voici une fleur issue d’un arbrisseau, trente à cinquante centimètres, au port un peu étalé. L’ Hélianthème en ombelle, au nom scientifique Halimium umbellatum, pousse en forêt d’Orléans sur quelques stations dans le massif de Lorris. Toujours sur des ados de fossé au sol silicieux  et proche de chênaie présente ou disparue, comme dans cette station,...
Chrysosplenium oppositifolium (Linné 1753) - La Dorine à feuilles opposées

Chrysosplenium oppositifolium (Linné 1753) – La Dorine à feuilles opposées

Voici une plante, Chrysosplenium oppositifolium, qui se moque bien des Cumulonimbus de mars ou d’avril, ils peuvent allègrement noircir la forêt vernale, sa floraison aurifie le sous-bois. La Dorine à feuilles opposées ou Cresson doré porte l’or dans son nom de genre, Chrysos mot grec dit tout. Plenium, de premier abord comme disent les profs...